Eh bien...

Même s'ils sont virtuels les amis ont leur importance, et comme je ne veux pas vous perdre suite au bug AOL, je vous invite à me rejoindre sur ce nouveau blog afin que je puisse reprendre vos adresses.
J'aime les vieilles pierres et l'Histoire qu'elles peuvent encore nous raconter... ou l'imaginaire qu'elles suscitent...
Visitez et commentez... Ce sera le signe qu'une photo aura éveillé votre curiosité.
Merci.
Elléona

mercredi 25 septembre 2013

Juste en passant...

Bonjour
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Juste pour vous avertir que je vais m'absenter quelques jours.


Une dernière vue de la façade du corps de logis des Hospitaliers


Des pierres séculaires et un simple bidon de lait devant ce qui fut, très certainement, la sortie de l'étable donnant sur les prairies à l'arrière du bâtiment des Templiers


Un joli papillon bleu sur une fleur de chardon au milieu d'un pré du Larzac
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A mercredi prochain et bizzzzz.

dimanche 22 septembre 2013

Premier dimanche d'automne...

Bonjour
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Je sais que je dois vous paraître un peu "soûlante" avec mes vieilles pierres mais j'aime essayer de comprendre le pourquoi des choses, surtout lorsqu'il s'agit de notre patrimoine.
Notre héritage commun mérite bien que l'on se souvienne encore un peu de lui et des hommes qui le bâtirent.
Ils furent nos ancêtres.
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La grande salle voûtée du réfectoire et au fond la cheminée de la cuisine.
L'éclairage de droite vient des ouvertures donnant sur la cour intérieure du "logis de vie" des Hospitaliers.
Admirons la voûte et regrettons le peu de moyens d'un tout petit village pour la sauvegarde de ce patrimoine.


La grande cheminée de la cuisine


Vestiges de l'appartement du Commandeur.
En agrandissant la photo, on remarque une grande entrée voûtée qui donnait sur une tour octogonale desservant les étages de deux bâtiments. Probablement une tour mitoyenne comportant un escalier à vis comme cela se faisait à la Renaissance.
Le second bâtiment attenant était mitoyen, lui, avec le donjon de 20 mètres de haut. On pouvait donc passer de l'un à l'autre par l'intérieur ?


Ce qui reste du dortoir des frères hospitaliers, son plancher étant le plafond voûté de la cuisine !
Il faut savoir que, si dans une commanderie, il n'y avait guère plus de 6 à 10 chevaliers et quelques fois moins pour s'occuper des tâches nobles et comptables, il y avait énormément d'ouvriers : maçons, bergers, vachers, écuyers, cuisiniers,etc. Mais, eux et peut-être leur famille, avaient leur logis dans les communs attenants ou quasiment sur leurs lieux de travail...
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A tantôt et bizzzzz.

jeudi 12 septembre 2013

Commanderie de Vaour...

Bonjour
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Tout d'abord m'excuser pour ce dernier silence de quatre jours mais la faute en incombe au serveur SFR car pendant ce laps de temps la box était hors service donc pas de téléphone, pas de télévision et pas d'Internet. :-(
Naturellement, personne n'a été averti et personne n'a eu une explication... Il faut se contenter de payer !
Grrrrrrr...
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Mon intérêt pour les vieilles pierres féodales reprend la visite de cette commanderie dont je vous ai montré la partie templière (métairie) restaurée pour servir de salle de spectacles durant l'été.
Si on y regarde de plus près, il est facile de constater que l'ensemble des bâtiments (en ruines pour les autres) n'indique pas une place fortifiée mais plutôt un gros centre agricole et administratif médiéval. En effet, pas de défenses ni de fortifications mais un donjon, une chapelle, un cimetière, la tour du Commandeur, etc.


Profil du mur de façade du bâtiment hospitalier - façade donnant sur la première cour après le passage de l'arche de l'entrée.
A noter le mur de soubassement sur lequel porte toute la construction : façade lisse et oblique jusqu'au premier étage. On voit que les blocs maîtres diminuent en s'élevant et que l'épaisseur du mur, très large à sa base, va en s'amenuisant. Mur de pierres sèches où chacune s'emboite et où les plus petites jouent le rôle de cales. Le tout lié par une espèce de mortier, qui arrivé sous nos yeux après tant de siècles, ressemble à de la boue séchée... [ Là, je n'y connais rien ! J'avoue.]
Avançons...


Après avoir tourné le long d'un mur de soubassement aveugle, on arrive dans la cour intérieure du bâtiment hospitalier (photo suivante) et on entre dans ce qui fut le lieu de vie de ces moines.
Cette photo montre l'épaisseur du mur de soubassement arrivé à sa partie haute car ces petites fenêtres y sont encastrées, les mettant hors d'atteinte des voleurs et autres brigands toujours intéressés par quelques maraudes... sans oublier les années des guerres de religion.
Cette fenêtre éclairait une première pièce magnifiquement voûtée qui était le réfectoire, et, en toute logique, la salle suivante, plus grande, plus lumineuse avec une grande cheminée et un chauffe-plat était la cuisine. Un petit couloir sombre conduit à ce que l'on peut appeler le local des réserves.


Vue de la cour intérieure.
Si la photo suivante montre une des fenêtres à meneaux (début renaissance) éclairant le réfectoire, on voit sur celle-ci les portes donnant accès à la cuisine. A l'extrême gauche des communs, mais non visible ici, une autre entrée permettait l'accès du réfectoire.
On voit aussi ce qui reste des grandes fenêtres du premier étage et de l'escalier d'accès - au bas de la porte de droite. Si on met de côté le logement du Commandeur dans une tour attenante (ruines d'un mur de séparation) on se trouve exactement au niveau du dortoir des moines hospitaliers qui, avec sagesse, l'avaient construit exactement au dessus de la cuisine avec son énorme cheminée qui faisait office de chauffage central de l'époque...
Il faut savoir qu'ils dormaient sur des paillasses posées à même le sol.


Une des deux fenêtres du réfectoire. En agrandissant la photo, on voit encore ce qui reste des encadrements sculptés.

Dans le soubassement oblique de cette partie de façade, les deux petites fenêtres de la cuisine et au-dessus celles du dortoir.
Du second étage, il ne reste que la fenêtre des appartements du Commandeur.
A y regarder de plus près, on constate que les siècles ont remblayé la première cour car les salles communes ne sont pas au niveau du terre-plein herbeux...
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A bientôt et bizzzzz.

mercredi 4 septembre 2013

Vestiges de la Commanderie de Vaour - Tarn.

Bonjour
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Progressivement les photos finissent par être triées, aussi puis-je vous emmener balader là où j'ai traîné mes guêtres durant ce mois d'août.
Le Larzac et ma passion pour les Templiers ;-)
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Le portail d'entrée de la Commanderie de Vaour qui se situe dans le département du Tarn.
A l'arrière-plan le bâtiment des Templiers, à gauche les vestiges de celui des Hospitaliers.
Le style de l'un est roman alors que l'autre est début renaissance.


Vue plus rapprochée du portail surmonté d'un blason quasiment illisible.
Les fenêtres à meneaux indiquent bien la différence architecturale entre Templiers et Hospitaliers.


Ici, c'est cet arc roman de guinguois qui m'a amusée !
Situé sous la grange, il s'ouvrait sur les étables et écuries.


Vestiges probables de la façade de l'appartement du Commandeur Hospitalier.
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Cette commanderie fut fondée en 1140 suite à un don de terre des Chevaliers de Penne.
Elle a été bâtie sur une butte isolée à l'emplacement exact d'un ancien lieu de rite païen dédié à l'eau.
Il faut se souvenir que les chevaliers Templiers (moines-soldats revenus des croisades) ne payaient ni droits ni taxes aux seigneurs dont ils dépendaient en échange de leur protection envers la population locale(gens, troupeaux, cultures, etc.).
Toutefois, il est à signaler que, contrairement à d'autres chevaliers templiers, le Commandeur de Vaour prit fait et cause pour le Roi de France Philippe IV le Bel.
Par conviction profonde ou par peur de finir en geôle puis sur le bûcher comme un certain nombre de ses pairs...
Mystère !
L'Ordre Templier éliminé, toutes leurs possessions furent reprises par l'Ordre des Hospitaliers.
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C'est tout pour aujourd'hui et la suite au prochain numéro...
Bizzzzz.

dimanche 1 septembre 2013

Ai-je enfin réussi ?


Bonjour
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Je ne veux pas crier victoire trop tôt car je reste hantée par ce "contes-de-web" intrus et, ô combien gênant pour ne pas dire un mot plus grossier, qui m'aura pourri la vie pendant plus de deux semaines!
Je ne sais si c'est le webmaster qui a agi puisque je l'avais alerté ou si c'est ma persévérance, limite de l'abandon, qui aura été payante, mais, soudain, miracle... j'ai eu accès à mon tableau de bord et mise en page et je peux vous dire que j'ai viré quelques Java Script dont les présumés coupables.
Je croise les doigts pour que cela ne se reproduise plus ;-/
Et si le webmaster est mon dépanneur, je lui dis MERCI.
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Si l'usurpateur ne revient pas, je vous parlerai de ce mois d'août, aussi chaud que juillet, et qui a vu défiler Fille Aînée, Fille Cadette et ses trois nanas et Fils Unique avec son adorable Ulysse de 3 ans.  
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A très vite de vos nouvelles et bizzzzz.