Eh bien...

Même s'ils sont virtuels les amis ont leur importance, et comme je ne veux pas vous perdre suite au bug AOL, je vous invite à me rejoindre sur ce nouveau blog afin que je puisse reprendre vos adresses.
J'aime les vieilles pierres et l'Histoire qu'elles peuvent encore nous raconter... ou l'imaginaire qu'elles suscitent...
Visitez et commentez... Ce sera le signe qu'une photo aura éveillé votre curiosité.
Merci.
Elléona

mercredi 30 octobre 2013

Moins d'une heure et on y est !

Bonsoir
***
Bien qu'Halloween ne soit guère une fête en France, je mets une dernière image...


Oh, la bonne soupe !
***
Bizzzzz.

mardi 29 octobre 2013

Encore quelques jours à peine...

Une image prise à une internaute que j'ai remerciée et que je remercie encore.
***
Bizzzzz.

dimanche 27 octobre 2013

Une autre en attendant le 31...

Juste pour le fun ...

... et il y a les citrouilles puisque la sorcière n'est pas encore arrivée !
***
A tantôt et bizzzzz.

jeudi 24 octobre 2013

Voici venu le temps d'Halloween et de mon anniversaire ;-)

Bonjour
***
Bien souvent absente ces temps-ci et je m'en excuse. De plus nous venons de passer un épisode cévenol particulièrement corsé entre les orages, le vent et les pluies diluviennes ; ce qui a obligé à racheter des serpillières pour la véranda dont les derniers travaux n'étaient pas terminés :-(
***
Je vous mets un gift d'Halloween.



A bientôt et bizzzzz.



dimanche 13 octobre 2013

Le 13 de ce mois d'octobre...

Bonjour
***
Nous resterons sur le château de Montaigut  (Aveyron) qui n'est absolument pas une place templière mais tout simplement un château féodal.
Une de ses particularités est d'avoir été bâti sur un éperon rocheux dominant la plaine - ce qui est le propre d'un château-fort - mais surtout d'avoir été construit sur de nombreuses sépultures datant du haut moyen-âge. Ce qui prouve que les premiers bâtisseurs étaient plus prosaïques que supersticieux !
Vers l'an 1 000 le bâtiment était plus simple et l'escalier en pierre et à vis était en saillie de la façade comme cela s'est fait jusqu'à la Renaissance.
Pourquoi ce porche démesuré ?
Au XVème siècle la construction fut élargie côté façade et l'escalier s'intégra dans les nouveaux aménagements .Et, comme il était coutume à cette époque d'étaler sa richesse en édifiant une tour plus haute que celles des seigneurs voisins, ce qui aurait été saugrenu pour un château déjà haut perché, le seigneur du lieu jugea-t-il plus "seyant" ou plus "représentatif" de son rang de faire réaliser ce porche à la hauteur démesurée, le seul en France, dit-on.
Il monte jusqu'au troisième étage, c'est dire !
Mais aucune décoration, juste la simple porte du rez-de-chaussée donnant sur la cour plein sud, une meurtrière et un fenestron.
Sans aucun doute, une prudence défensive pour affronter les périodes troublées.


Une vue de la basse-cour, de l'écurie et des communs du château.
Le long à droite, la rampe d'accès au portail d'entrée.
Photo prise de la terrasse du toit.


Certaines tombes avaient dû servir de sépultures pour plusieurs défunts.


Des sépultures du haut moyen-âge, creusées directement dans le roc, n'ont pas arrêté les bâtisseurs montant leurs murs directement sur et en travers des tombes !


Les différents os retrouvés démontrent que nos ancêtres souffraient des mêmes maux que nous dont l'arthrose. :-(
***
A  tantôt et bizzzzz.

vendredi 4 octobre 2013

Elléona, le retour ;-)



Le porche démesuré du château de Montaigut


Bonjour
***
Eh oui, nous voici rentrés depuis hier soir !
Non que le temps fut mauvais en Auvergne et sur le Larzac, encore qu'il se fût gâté le dernier jour, passant à la trappe la "nième" visite de la Couvertoirade :-/
Même mauvais temps en retrouvant nos pénates : grisaille ou grosses pluies cévenoles.
Pourtant, mercredi nous avons vu le Château médiéval de Montaigut (Aveyron) sous un soleil de plomb !
Comme il se doit, il était situé en haut d'une butte, et, si j'ai pu faire l'escalade du long chemin pierreux en m'aidant de deux cannes à la fois (merci l'arthrose des hanches !) et si j'ai encore pu visiter la basse-cour et les communs aux sols très irréguliers, l'Hôm fut "mes yeux" pour les étages afin d'engranger les détails et de jouer de l'objectif.
Pendant ce temps, j'examinais attentivement les pierres de soubassement de cet édifice quasiment millénaire, et pour une fois ma patience fut récompensée : j'ai trouvé un énorme bloc avec, en façade - ce qui est rare - la "signature" du tailleur de pierres, une espèce de graffiti entre "s" et "5", lequel, facétieux, avait tracé, gravé le contour de sa main gauche à l'opposé...
Il fallait qu'il soit le maître d'oeuvres ou que le tailleur soit son ami pour qu'il laisse exposer cette face du bloc.
Certes, c'était sur le soubassement de ce qui fut un bâtiment réservé aux animaux (étable, etc.)
Savoir que ce bloc avait été mesuré, taillé, aplani par la main d'un homme qui, malgré les conditions de l'époque, avait tenu à laisser une trace supplémentaire et amusante de son passage sur terre, donne le sentiment de toucher du bout des doigts un fragment de l'Histoire, non la grandiose mais celle des petites gens qui la fabriquèrent et sans qui il n'y eût guère de traces de ce passé qu'est notre patrimoine.
J'espère que les photos rendront ces détails mais je n'en suis pas certaine, car, lorsque mon mari est redescendu de sa visite, ce mur était en plein soleil...
On verra bien !
Personne, des guides ou des bénévoles qui restaurent ce château, n'avait vu ces détails...
Il n'empêche que j'étais si contente que j'en ai oublié mes douleurs pendant quelques heures !
L'émotion passée, je me suis aperçue qu'elles étaient toujours là... et même encore au moment où j'écris !
"Ah, vieillesse ennemie... "
***
A bientôt et bizzzzz.