Je souhaite un bon dimanche pour toutes les mamans passant faire un tour sur ce blog.
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Pour avoir de grands enfants et des petits-enfants adolescents, j'ai toujours pensé que le métier de parents (père et mère) était le plus difficile qui soit.
La fête d'une journée par an ne fait pas oublier 364 jours de soucis et de joies, de conflits larvés comme d'armistices apaisants, de petites victoires mais aussi de défaites.
Etre parents, c'est vouloir le mieux pour son enfant même si, pour cela, il faut savoir mettre dans sa poche des illusions parfois bien simples, et tourner la page sans ressasser sa déception...
Mais être enfant, petit ou grand, quand le collier ne nouille n'est plus le marqueur inconditionnel d'un amour aveugle, est-ce beaucoup plus facile ?
Est-ce en voulant faire plaisir que l'on se forge le caractère ? Que l'on tient tête pour ses propres idées ? Que l'on trouve sa personnalité, celle qui guide une vie ?
Non.
Aux parents d'arrondir les angles, de conseiller sans imposer et de savoir se retirer progressivement lorsque l'oisillon quitte le nid [autre déchirure pour une maman...]
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Fille Cadette et ses filles sont venues hier soir, car impossible aujourd'hui.
Elle amenait une bouteille de Crémant de Bourgogne (un fond de liqueur de litchi de Chine dans la flûte à champagne + le Crémant, c'est délicieux !) et j'avais fait un clafoutis à l'ananas.
Bien entendu, j'ai été gâtée.
Avec les enfants au loin, ce sera un coup de fil.
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Bon dimanche - il pleut ici et je crois que ce sera pour la journée d'où le barbecue annulé - et une double bizzzzz aux mamans.
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